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L'Auteur

Diplôme de 9e dan Hanshi

l’ArtistePeintre

le Budoka

l’Écrivainle Philosophe

Un demi-siècle de pratique non stop, dont 45 ans d’enseignement bénévole (1968). En 2013, il reçoit le diplôme de Mérite de la Fédération Internationale des Arts Martiaux et de la Culture (Japon) des mains de son Président Masashi Yokoyama 8e dan, ainsi que le trophée des dirigeants méritants de la ville d’Avignon (84) pour ses 45 ans de bénévolat consacrés à l’enseignement des arts martiaux.En 2015, à l’issue d’un nouveau stage de perfectionnement au Japon, il reçoit le titre honorable de « Chuden » en ju-jutsu Mondo-ryu des mains du Maître Masashi Yokoyama 10e dan.

StartFragmentRoland Jean MAROTEAUX est né en Belgique, à Chênée, le 12 décembre 1944. Dès l’âge de 16 ans, il se passionne pour le judo, qui le conduira vers d’autres arts martiaux au fil des ans, comme l’Aïkido, le karaté, le ju-jutsu, le ko-budo, le Iaïdo et l’Aïki-jujutsu. Hormis le karaté, qu’il pratiqua sous la direction de Henry Plée à Paris, tous ses maîtres furent Japonais, tels que : Masamichi Noro, Takeshi Dogane, Itsuo Tsuda, Hisamitsu Mimurodo, Kozan Terazawa, Ryuho Okuyama, Hisashi Nakamura, Toshihisa Sofué, Masayuki Toyo-shima, Miyoshi Morita, entre autres. Il est le pionnier incontesté de l’Hakko-ryu et du Takeda-ryu en France, et fut le représentant officiel du Nihon Sobudo Rengokaï (Japon) pour la France et l’Europe durant dix ans. Considéré comme «le père» de l’Hakko-ryu en Europe, c’est en effet lui qui implanta ces deux écoles Japonaises en France. (Voir l’Encyclopédie des arts martiaux - Editions EM). EndFragmentEndFragment

StartFragmentl'Auteur

En 2017, il reçoit le diplôme de la médaille d’Or de l’Académie des Arts, Sciences, Lettres (fondée en 1915 et placée sous le haut patronage du Président de la République) des mains de son Vice-président Jean-Paul de Bernis sous la coupole de l’hôtel intercontinental de Paris. Ainsi, il rejoint les grands artistes, scientifiques et littéraires français ayant fait partie de cette prestigieuse institution comme le Dr Albert Schweitzer, André Maurois, Jules Romain, Henri Troyat, Marcel Pagnol, Alain Decaux, Yves Coppens, Line Renaud, Simone Veil, Jean d’Ormesson, entre autres... Un budoka, multidisciplinaire qui s’est affirmé dans son parcours.

DES LIVRES QUE VOUS NE TROUVEREZ PAS EN LIBRAIRIEIl publie son premier livre en 1975. A raison d’une moyenne d’un livre par an, il a édité plus de trente ouvrages sur les arts martiaux, ce qui fait de lui le deuxième écrivain de France après Roland Haberzetzer. Il a également à son actif, édité certains essais, romans et autobiographies, ainsi que des ouvrages ayant pour thème la chevalerie contemporaine, un domaine qu’il affectionne particulièrement, et qu’il considère comme complémentaire aux arts martiaux. Il écrit par passion et il manie la plume aussi bien que le verbe. Un homme qui n’a pas la «langue de bois», lorsqu’il s’agit de défendre les intérêts des arts martiaux traditionnels ou ses idées. Il est un narrateur passionnant et passionné, qui s’exprime avec respect et courtoisie. De même qu’il est un observateur de la vie, il est cet auteur provincial, vivant exclusivement de sa plume. Toutes ses œuvres littéraires sont autoéditées. Il n’hésite pas à parcourir le monde pour développer des sujets palpitants et éclectiques. Un auteur pas comme les autres, pour des petits chefs d’œuvres pas comme les autres, dont certains ont été édités à l’étranger et qui ont connu les honneurs de la presse écrite, parlée et télévisée dans divers pays, notamment en France, en Roumanie, au Maroc, à Madagascar et aux USA. Ses ouvrages reflètent sa véritable nature, lequel publie - selon lui - ce qu’il ne trouve pas en librairie.Docteur en philosophie, membre de la société nationale des auteurs indépendants (SNAI), ancien membre de la société des Gens de Lettres, maître d’arts martiaux, psycho-sociologue, philosophe et poète, ses écrits, emprunts d’une profonde réalité, ne sont accessibles que sur le présent site.

Par trois fois, il fut le premier Français diplômé d’Etat et le premier Européen, à avoir reçu le haut titre de Shihan (maître) en ju-jutsu au Japon, les grades de 6e dan Aïkido, 5e dan Iaïdo et 5e dan Jodo du Takeda-ryu et à être officiellement certifié 8e dan par les plus hautes instances d’arts martiaux traditionnels japonais (Société des vertus martiales du Japon). Par extension logique, il devint, dès 2006, le plus haut gradé d’Europe en Aïki-jujutsu (8e dan-Kyoshi).

StartFragmentL’homme est bien connu pour sa détermination à défendre les valeurs intrinsèques du budo japonais traditionnel. Il émane de celui-ci un certain charisme qui n’échappe à personne, et une pugnacité exemplaire. Il consacre sa vie à parfaire ses connaissances auprès de maîtres japonais respectables et enseigne dit-on avec une précision d’horloger. «Le Freud» des arts martiaux diront encore certains. Il est un perfectionniste invétéré et un pédagogue hors pair, selon ses élèves et instructeurs. Son allure martiale, sa grande connaissance sur tout ce qui touche l’historique du budo, notamment en France, ses techniques anciennes purement japonaises, lui valent d’être parfois surnommé «Le samouraï blanc». Indifférent aux critiques formulées par ses détracteurs, il fait son bonhomme de chemin en suivant sa voie (do), ce qui lui vaut la reconnaissance de ses pairs.La richesse de son savoir et savoir faire pour faire savoir, sa haute compétence technique, son profond respect des vertus martiales, sa compréhension des hommes, son ouverture d’esprit et de dialogue, ses observations sur l’étude du comportement humain, ses publications et conférences, font de lui un homme apprécié, partout où il se rend sur la planète, qu’il parcourt d’un bout à l’autre. Observateur de la vie, homme de pensée et d’action, il est ce personnage qui semble parfois émerger du passé. Philosophe de formation et par nature, fin psychologue, il est aussi un passionné d’histoire. Pour toutes ces raisons, en 2008, il reçoit la «médaille d’or» du Mérite et du dévouement Français des mains du Président national Jean-Paul de Bernis, pour services exceptionnels rendus à la collectivité humaine. La haute estime et considération que lui témoignent nombre d’experts, ainsi que ses élèves et amis des arts et des lettres, dénotent un respect envers ce personnage mythique, atypique, parfois même mystique, dont le nom est définitivement associé au budo traditionnel, en tant que praticien de haut niveau et écrivain indépendant. Un personnage légendaire, comme le souligne son ami Ron Yamanaka 9e dan, dont le renom n’est plus à faire… Roland Jean MAROTEAUX a commencé à écrire très tôt. C’est ainsi que dans les années 70, il devint un chroniqueur bien connu dans la revue «Budo Magazine» que dirigeait alors Henry D. Plée, et dont le rédacteur en chef n’était autre que Roland Habersetzer, un écrivain budoka bien connu de nos jours. Il fut également chroniqueur de la revue «Santé beauté», entre 1970 et 1974 et, par la suite, chroniqueur de la remarquable revue «Dojo arts martiaux», auprès du rédacteur en chef André Louka. Cette expérience lui valut de créer une petite revue «goshindo-magazine», qu’il édita durant dix ans. En 1988, il fonda la magnifique revue «Aïkigoshindo kaïshi», dont il est aujourd’hui l’éditorialiste.Depuis 2012, il est chroniqueur dans la revue française à grande distribution « Self & Dragon » que dirige le rédacteur en chef Pierre-Yves Bénoliel. EndFragment

StartFragmentEn 2006, il nomma son art aïki-jujutsu.Il a fondé sa propre méthode dénommée «Marotokan» en 1997, ainsi que sa propre branche «Takeda-ryu Maroto-ha», qui regroupe une soixantaine de dojos en France et de nombreuses filiales à l’étranger. (Voir l’encyclopédie des arts martiaux - Editions EM). Il est à la tête d’une organisation internationale qui englobe environ 8.000 membres dans le monde. Hormis le fait qu’il a un petit dojo privé, exclusivement destiné aux enseignants d’un certain niveau, il fait partie des rares maîtres en France, à ne pas avoir de dojo public attitré, en raison de ses nombreuses absences. «On ne peut être à la fois au four et au moulin», comme il le précise souvent, et de ce fait, il bénéficie d’une grande autonomie pour se perfectionner. Les stages qu’il anime à l’étranger sont toujours très appréciés et nombreux sont les élèves et instructeurs d’autres écoles, qui viennent parfaire leur savoir à ses côtés, notamment en Inde, au Canada ou au Maroc.Lors du Taikaï International d’Aïki-jujutsu Takeda-ryu de Casablanca en 2007, plus de 450 participants venus du monde entier ont suivi son enseignement.Maître de l’enseignement au sein de l’Union nationale d’aïki-jujutsu et disciplines associées (fondée en 1979), il est le Président de l’ESTAM (European Sobukaï Takeda-ryu Maroto-ha), depuis sa fondation en 1990 et Président du CNEC (Comité national des experts certifiés). Belle réussite, lorsqu’on sait, que depuis 1978, il s’est démarqué, en reven-diquant clairement son indépendance culturelle par rapport aux fédérations sportives officielles. En 2005, la ville de La Sentinelle (Nord), lui a même dédié une salle d’arts martiaux municipale qui porte son nom. Il est membre du comité directeur de la Société Scientifique Internationale des Arts Martiaux et Sports de Combat (Pologne).EndFragmentEndFragmentEndFragment

StartFragmentDepuis 2005, Roland Maroteaux avait exprimé le souhait de réduire fortement ses voyages en avion, après un demi-siècle d’envols à travers le monde pour ses arts martiaux, afin de se consacrer à la peinture. C’est aujourd’hui chose faite !A ses rares moments de loisirs, il peignait déjà en dilettante. A présent, il souhaite peindre avec la passion qui l’anime…comme pour ses arts martiaux.« Lorsque j’étais enfant, je voulais être artiste-peintre! Les évènements de ma vie ont fait que cela s’est avéré impossible. Néanmoins, je finirai tout de même ma vie artiste-peintre… » Une vocation tardive?Certainement pas ! Il avait 4 ans qu’il dessinait et peignait déjà des personnages les plus divers : indiens, cow-boys, chevaliers, soldats américains, français, anglais ou allemands, paysages, natures mortes, etc. Un don précoce. Sa mère lui disait souvent, qu’il avait hérité de son grand oncle Ferdinand Cobbaut, un artiste peintre flamand bien connu à Gand (Belgique) pour ses magnifiques œuvres picturales dont il s’inspire aujourd’hui (voir tableau réalisé en 1942).A l’école, il passait son temps à rêvasser et à dessiner, plutôt que de suivre les cours d’histoire, de géographie, d’arithmétique, de science, etc. Il passait plus de temps à dessiner et à chanter. Que de dessins ont fini avalés par les flammes dévorantes du poêle de la classe, confisqués par l’instituteur ? Il en fut de même lorsqu’il était au collège. Un jour, l’un de ses professeurs Rémois de maths se nommant Monchablanc, lui demanda ce qu’il faisait pendant qu’il expliquait une théorie sur « Le petit bonhomme d’Ampère » en électricité. Il dessinait ! Il lui fut proposé d’éviter 4 heures de colle, s’il ramenait au professeur en question, un dessin pour le prochain cours. Le jour « J », il avait oublié le dessin et dut improviser, dès lors que le prof le lui rappela. Sans perdre de temps, il sortit discrètement une feuille, fit rapidement deux points noirs sur la feuille blanche et l’apporta à son destinataire. Surpris, celui-ci lui demanda ce que signifiait ce simulacre de dessin, en le présentant à la classe, qui s’esclaffa. « C’est mon chat-blanc dans la neige » répliqua-t-il. Stupéfait, le prof reconnut son sens prononcé de l’humour et respecta son engagement.Quelques temps plus tard, un artiste peintre Rémois, du nom de Haudebourg, ayant eu vent de son talent pour les personnages, lui demanda s’il était capable d’effectuer des personnages grandeur nature, des pyramides, des Egyptiens et quelques palmiers sur une feuille d’une dizaine de mètres de long, pour un décors théâtral. Celui-ci acquiesça. Aussitôt dit, aussitôt fait, il se mit à l’ouvrage. Lorsqu’on lui demanda combien de temps il lui faudrait pour exécuter cette oeuvre, il s’enhardit de répondre « Une heure ou deux ». Ce qui fut fait, au grand étonnement de l’artiste…Aujourd’hui, il éprouve à nouveau cette envie de peindre, d’autant qu’à la fin de l’année 2011, trois de ces toiles ont été sélectionnées par un jury, pour être exposés durant trois semaines, au parc Phoenix de Nice, à l’occasion du 23e Aigle de Nice international. Une aubaine pour lui, qui déclencha cette ferveur de peindre sur un thème qui lui tient tant à cœur : arts martiaux et chevalerie. Il peint ce qu’il aime selon ce qu’il voit ou ce qu’il imagine, en véritable autodidacte.Ecrire et peindre sont deux vocations qu’il exploite désormais conjointement, une continuité logique de ses arts martiaux, qu’il enseigne bénévolement depuis 40 ans à travers des stages. Il est probablement le seul « maître » au monde à n’avoir point de salle pour enseigner, ce qui le rend libre de toute contrainte horaire, de parfaire ses connaissances en toute quiétude et de disposer de son temps à sa guise, pour se livrer à ses multiples activités culturelles. EndFragment

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